Avant qu'un quartier entier ne pousse à la périphérie de Sapes pour y loger les Pontios, ceux-ci ont provisoirement été hébergés dans des préfabriqués qui sont maintenant à l'abandon. Une dizaine de familles pontios habite encore dans ces baraquements meurtris par le temps, dans l'attente d'un terrain que le gouvernement grec doit leur fournir pour qu'ils y construisent leur maison.